DIMANCHE 10 SEPTEMBRE 2017
RENDEZ-VOUS À 9H00

Alter randonnée Attac Marseille n°20 : « Du Temple de Saint-Just à l’Église de Saint-Marcel par le GR 2013 » 

Un parcours sur le GR2013 depuis le saint des saints, le Temple bleu de Saint-Just, à savoir le conseil départemental, en passant par la charmante église de Saint-Julien et son campanile, la congrégation des filles du cœur de Jésus, jusqu’à l’église de Saint-Marcel. Guidés par ces saints protecteurs, nous pourrons traverser le parc de la Moline avec son jardin potager et ses prairies naturelles, admirer au passage plusieurs œuvres des maçons rocailleurs, longer La Valentine, et franchir allégrement l’Huveaune et le Jarret. Cette balade sera auréolée du pique nique façon auberge espagnole désormais traditionnel où chacun pourra communier autour de quelques mets ou libation sà partager.

Attention : en raison du nombre de plus en plus important de demandes, ces balades sont réservées en priorité aux adhérent.e.s de l’association.

Tracé : 9 km de routes et chemins vicinaux - prévoir de l’eau - un pique-nique et de bonnes chaussures.
Durée approximative : quatre heures.
Rendez-vous : 9h00 précises à la sortie du métro Saint-Just.
Accès par Métro : Ligne 1 – arrêt Saint-Just Hôtel du département.
Accès par Bus : bus 42 – 42T – 53 – 72 - 81.
Pique nique : chacun apporte son pique-nique plus une ou plusieurs choses à partager.
Retour : Fin de la balade vers 14 heures - retour par bus n° 15 vers Sainte-Marguerite Dromel ou 40 vers La Timone ou par la gare de Saint-Marcel vers Saint-Charles.
Réservation obligatoire : par courriel : 9kersalic@orange.fr

Tous les détails de la balade sont en pièce jointe ainsi qu’une iconographie.

« Les faubourgs, c’est la ville en état d’urgence, le terrain sur lequel se livre en permanence le combat entre ville et campagne. Celui-ci n’est nulle part plus acharné qu’entre Marseille et le paysage provençal. C’est le combat rapproché des poteaux télégraphiques contre les agaves, du fil de fer barbelé contre les barbes des palmiers, des nappes de gaz des corridors empestés contre l’ombre humide des platanes, des perrons courts de souffle contre les puissantes collines. »

Walter Benjamin.